📌 L’essentiel à retenir…
La liquidation d’Immocitiz révèle les limites des modèles « clé en main » dépendant d’un marché haussier. Leur système mêlant rétro-commissions et externalisation (Creacitiz, 40% d’avis négatifs) s’est effondré face à la hausse des taux. Pour les investisseurs, contrôler la solidité des partenaires et la transparence des frais (7,7% pour 5,5% de rendement net) devient indispensable.
La liquidation d’Immocitiz, figure centrale du clé en main pendant une décennie, interroge la fiabilité des modèles immobiliers centralisés. Cette faillite, officialisée en octobre 2023, révèle trois enseignements cruciaux : des rétro-commissions opaques orientant le choix des partenaires, une externalisation des travaux vers Creacitiz (filiale notée 40 % d’avis négatifs sur Google), et un modèle fragilisé par la montée des taux. Elle illustre comment même les acteurs historiques chancellent face à la normalisation du marché. Elle exige une vigilance sur les frais cachés, la robustesse des partenaires (notamment à Lille, Bordeaux ou Le Havre), et la résilience des modèles en contexte tendu. Investir en 2025 passe donc par une analyse rigoureuse et une diversification stratégique.
Immocitiz : la chute d’un acteur du « clé en main » qui doit alerter les investisseurs
Après plus de dix ans d’existence, Immocitiz, plateforme pionnière de l’investissement locatif clé en main, a cessé ses activités en octobre 2023. Pour des milliers d’investisseurs, cette liquidation judiciaire représente un choc. Le modèle promettant simplicité et sécurité s’est fissuré sous la pression d’un contexte économique inédit. Ce cas illustre comment même les acteurs établis peuvent vaciller face à des paramètres méconnus.
La fin de la plateforme ne s’explique pas par un simple ralentissement du marché. Elle s’inscrit dans un contexte plus vaste : des taux d’intérêt multipliés par trois en deux ans, une crise du logement persistante, et des règles d’octroi de crédits durcies (plafonnement à 35 % de taux d’endettement).
Comme le soulignait un analyste sectoriel : « Quand un acteur établi tombe, ce n’est jamais anodin. Cela doit nous pousser à revoir nos certitudes. »
Cette liquidation ouvre un débat crucial. Elle révèle la vulnérabilité de certains modèles d’investissement délégué. L’externalisation complète des travaux vers Creacitiz, filiale du groupe avec 40 % d’avis négatifs en ligne, ou les rétrocommissions versés aux partenaires, interrogent sur la transparence des coûts. À l’ère d’une normalisation immobilière, les investisseurs doivent apprendre à décortiquer les mécanismes cachés derrière les promesses de rendement. Les leçons à tirer sont nombreuses.
La fin d’une ère : confirmation de la liquidation judiciaire d’Immocitiz
Retour sur les faits : liquidation actée fin 2023
Le 18 octobre 2023, le Tribunal de Commerce de Nantes a ordonné la liquidation d’Immocitiz (SIREN 790 090 872), officialisant la fin de l’activité. La cessation des paiements remontait au 14 septembre 2023. Spécialisée dans l’investissement locatif clé en main, la société avait géré 2 000 projets pour 390 millions d’euros, principalement à Paris, Le Havre, Lille, Valenciennes, Nantes et Bordeaux. Fragilisée par des pertes en 2020 (-181 K€) et 2021 (-76,6 K€), elle n’a pas résisté à la crise immobilière post-2022.
Qu’implique concrètement la liquidation d’Immocitiz ?
La liquidation entraîne la vente des actifs pour rembourser les créanciers selon un ordre de priorité (salariés en premier). Les clients perdent tout accompagnement contractuel, notamment pour les travaux non finalisés. Les investisseurs doivent déclarer leurs créances au liquidateur Maître Aude Pelloquin via BODACC. Les garanties financières avec Galian Assurances ont été annulées, supprimant une protection pour les clients.
Pourquoi cette faillite doit alerter les investisseurs
La crise immobilière et la hausse des taux (jusqu’à 4,5 %) ont précipité la chute. Les règles HCSF (endettement plafonné à 35 %) ont réduit le nombre d’acheteurs potentiels. Fragilisée par des pertes répétées et une externalisation partielle (notamment vers Creacitiz, filiale aux 40 % d’avis négatifs), la plateforme illustre les risques d’une approche passive. Ce cas renforce l’importance d’analyser les modèles d’investissement, de diversifier les portefeuilles et de vérifier les garanties des plateformes. Les clients doivent désormais privilégier les acteurs transparents et solidement capitalisés, en intégrant les aléas du marché dans leurs stratégies.

Immocitiz avant la chute : retour sur un modèle d’investissement qui a séduit
La promesse Immocitiz : un investissement locatif clé en main
Immocitiz proposait un investissement locatif clé en main pour particuliers. La plateforme accompagnait les investisseurs de l’acquisition à la gestion locative, en passant par le financement et les travaux. Ce modèle s’adressait aux épargnants souhaitant déléguer la complexité de l’immobilier tout en optimisant leur fiscalité.
La stratégie reposait sur l’acquisition de biens en LMNP au réel, un choix attractif fiscalement grâce à la déduction des charges réelles et des amortissements. Les villes ciblées (Paris, Lille, Bordeaux, Le Havre, Nantes, Valenciennes) correspondaient à des zones à potentiel locatif, avec des rendements bruts allant jusqu’à 8,5 % dans des villes comme Saint-Étienne. Pour les investisseurs locaux du Gard, il est intéressant de comparer ces chiffres avec les tendances du marché immobilier à Nîmes, ville dynamique de la région.
Les points forts reconnus et les failles déjà visibles chez Immocitiz
La plateforme bénéficiait d’une solide expérience (plus de 10 ans) et d’audits de biens jugés exhaustifs. Le conseil fiscal personnalisé séduisait les investisseurs souhaitant optimiser leur fiscalité.
Cependant, le modèle présentait des fragilités. L’externalisation des travaux vers Créacitiz, filiale du groupe, a généré des malfaçons fréquentes, avec 40 % d’avis négatifs sur Google. Les honoraires élevés (7,7 % du coût global) pénalisaient la rentabilité nette, malgré un rendement moyen annoncé de 5,5 %. La rétro-commission sur les partenaires (artisans, courtiers) créait un conflit d’intérêt.
Synthèse de l’offre Immocitiz (avant liquidation)
| Caractéristique | Description |
|---|---|
| Type de service | Investissement locatif clé en main |
| Honoraires | 7,7% sur le coût global du projet (achat + travaux + notaire), minimum de 7 000 € |
| Rendement net moyen annoncé | 5,5% |
| Villes ciblées | Paris, Le Havre, Lille, Valenciennes, Nantes, Bordeaux |
| Gestion des travaux | Externalisée via la filiale Créacitiz |
| Points forts | Expérience du marché, audits de biens complets, conseils fiscaux |
| Points faibles | Externalisation des travaux, modèle de rétro-commissions, avis mitigés sur Créacitiz |
Les signaux d’alerte étaient visibles malgré le contexte 2024-2025. La crise du logement et les taux élevés ont accentué les fragilités. Si le modèle plaisait par sa simplicité, les défaillances de Créacitiz et les coûts élevés ont précipité sa fin. Les investisseurs ont découvert trop tard les risques liés à la concentration des services dans un seul acteur.

Anatomie de la faillite Immocitiz : raisons internes et contexte externe
La liquidation judiciaire en 2023 révèle un cas d’école sur les risques à ne pas négliger lors d’un investissement immobilier clé en main. Derrière cette disparition, deux types de causes s’entremêlent : des fragilités structurelles et un environnement économique devenu toxique.
Les fragilités du modèle Immocitiz : un système sous tension
Le modèle reposait sur une externalisation quasi-totale des métiers : recherche de biens, financement, travaux et gestion locative confiés à des partenaires. Cette approche réduisait les coûts fixes mais engendrait des dépendances critiques, notamment pour la phase travaux pilotée par Creacitiz, sa filiale spécialisée.
Les signaux d’alerte multiples, comme en témoignent les données officielles et les retours clients :
- Une dépendance forte à des partenaires externes pour des étapes clés comme les travaux
- Un manque de transparence sur la rémunération via les rétro-commissions, pouvant biaiser le choix des prestataires
- La présence d’une filiale travaux (Creacitiz) avec une mauvaise réputation publique, indiquant des problèmes de qualité non résolus
- Un modèle économique performant surtout dans un marché haussier et avec des taux bas, le rendant vulnérable à un retournement de conjoncture
La gestion des rétro-commissions, bien que courante dans le secteur, posait un problème particulier : en incitant les conseillers à privilégier les partenaires rémunérateurs, elle risquait de dénaturer l’alignement avec les intérêts des investisseurs. Le cas Creacitiz illustre ce risque avec 40% d’avis négatifs sur Google et des contentieux en cours en 2024.
Le coup de grâce : un contexte économique qui n’a rien pardonné
La conjoncture 2022-2024 a précipité l’effondrement. Les taux d’intérêt, passés de 1,5% à 4,5% en deux ans, ont étranglé l’accessibilité des prêts. Selon l’ANIL, chaque point de taux en plus réduit le pouvoir d’achat immobilier de 15%. Pour un investisseur de la plateforme, cela signifiait des mensualités plus élevées pour des rendements (5,5% en moyenne) inchangés.
Le durcissement des conditions d’accès au crédit via l’HCSF a agi comme second frein. Les banques exigeant désormais un apport personnel de 10-15% et des ratios d’endettement inférieurs à 35%, le cercle d’investisseurs éligibles s’est rétréci. En parallèle, la crise du logement – avec un déficit de 200 000 logements par an selon la Fondation Abbé Pierre – a amplifié la pression sur les délais de livraison des biens clés en main, renforçant l’insatisfaction client. Cette crise impacte directement les prix immobiliers dans le Gard et réduit les opportunités d’investissement dans notre région.
Comme observé en 2023, un report de six mois des projets d’achat par les ménages suffit à asphyxier un modèle dépendant du volume de transactions. Alors que les taux bas entretenaient l’illusion d’une croissance pérenne, la remontée des taux a exposé les failles d’un système trop optimiste sur ses marges de manœuvre.

Les leçons à tirer de l’affaire Immocitiz pour investir en 2025
Leçon n°1 : analyser le modèle économique, pas seulement la promesse de rendement
La liquidation rappelle qu’un rendement attractif ne garantit pas la pérennité d’un investissement. L’essentiel est de comprendre comment l’entreprise génère ses revenus. Le modèle économique d’Immocitiz reposait sur des commissions élevées (7,7 % du projet global, avec un minimum de 7 000 €), sans offrir d’indépendance dans la gestion locative.
Un investisseur avisé doit scruter la structure des frais et les potentiels conflits d’intérêts. Un modèle opaque est un signal d’alerte. Il est crucial de réaliser une diligence raisonnable : vérifier les frais cachés, les rétro-commissions versées à des tiers, et l’historique des performances réelles.
Leçon n°2 : vérifier la solidité et l’indépendance des partenaires
Le cas illustre une dépendance à ses propres filiales, comme Creacitiz, sa société de travaux. Or, cette dernière cumulait 40 % d’avis négatifs sur Google Review, impactant directement la satisfaction des investisseurs.
Ce cas montre que la fiabilité d’un modèle clé en main dépend aussi de la solidité de ses partenaires. Avant de s’engager, un investisseur doit auditer les acteurs clés, comme vous le feriez pour choisir un constructeur de maison. Cela passe par la lecture des avis clients, la vérification des antécédents financiers, et la consultation de réalisations antérieures.
Leçon n°3 : l’importance de la diversification et des garanties
Dans un contexte de taux élevés (jusqu’à 4,5 %) et de crise du logement, la diversification est un levier essentiel. Ne pas concentrer ses investissements sur un seul modèle ou une seule zone géographique réduit le risque. En cas de défaillance d’un opérateur, un portefeuille équilibré protège contre la perte totale.
Les garanties contractuelles sont un autre pilier à vérifier. En cas de liquidation, le contrat doit prévoir des protections pour l’investisseur : assurances décennales, reprise éventuelle du bien par un tiers, ou mécanismes de remboursement.
À retenir :
- Ne jamais déléguer sa vigilance : comprendre la structure de frais et les potentiels conflits d’intérêt est non négociable
- Auditer les partenaires-clés (artisans, gestionnaires) avec la même rigueur que la plateforme elle-même
- Intégrer le contexte économique (taux, marché) dans son analyse de risque et questionner la résilience du modèle
Investissement clé en main : comment choisir le bon partenaire après Immocitiz ?
La checklist pour auditer une plateforme d’investissement
Face aux risques récents, comme la liquidation d’Immocitiz, il est vital de vérifier la fiabilité d’une plateforme avant de s’engager. Voici les questions essentielles à poser, en tenant compte des garanties offertes et des bonnes pratiques de diversification.
Quelle est la structure exacte des honoraires ?
Vérifiez les frais cachés comme les pénalités de résiliation ou les coûts liés à l’accompagnement bancaire. Par exemple, certaines plateformes facturent des frais supplémentaires pour la négociation de prêts, ce qui réduit le rendement net.
Qui sont vos partenaires pour les travaux ?
Exigez des exemples concrets de réalisations et des retours d’investisseurs. Une plateforme sérieuse doit détailler ses partenariats et garantir la qualité des artisans, contrairement à Creacitiz, filiale souvent critiquée pour ses retards.
Quelles garanties en cas de retard ou de défaillance ?
Les plateformes sérieuses prévoient des pénalités plafonnées ou des garants. Demandez à voir les clauses contractuelles précises. Cette vigilance sur les garanties s’applique aussi lors de la vente d’un bien avec PTZ, où les protections contractuelles sont tout aussi cruciales.
Comment les biens sont-ils sélectionnés ?
Une plateforme transparente doit justifier son indépendance vis-à-vis des agences. Vérifiez si les biens sont choisis pour leur rendement réel ou simplement pour leur facilité d’écoulement.
Le contrat prévoit-il une sortie avant achat ?
Vérifiez les conditions et les frais éventuels. Une clause de désistement claire protège contre les mauvaises surprises.
Au-delà du clé en main : quelles alternatives à Immocitiz ?
La liquidation rappelle les limites des modèles externalisés. Le contexte 2024-2025, marqué par des taux élevés et une crise du logement, exige une analyse critique des modèles d’investissement. Diversifier son portefeuille est une stratégie clé.
Former son équipe (chasseur immobilier, artisan, gestionnaire) permet un contrôle total, notamment si vous envisagez d’acheter une maison construite par un particulier. Un chasseur peut négocier jusqu’à 10 % de réduction contre une commission de 2 à 5 %, tout en identifiant des biens sous-évalués dans des zones à potentiel. Cette approche réduit les risques liés aux plateformes centralisées.
Le crowdfunding immobilier (dès quelques centaines d’euros, rendement 8-12 % bruts) reste une option, malgré des risques accrus. Les SCPI, accessibles dès 1 000 €, offrent une gestion déléguée avec un accès à l’immobilier tertiaire, mais avec des frais de 10-12 %. Ces solutions, combinées à une analyse des garanties contractuelles, limitent la dépendance à un seul modèle.
Après Immocitiz : 3 réflexes pour sécuriser votre investissement immobilier en 2025
La liquidation rappelle qu’un investissement réussi exige une vigilance critique. Maîtrisez le modèle de la plateforme : vérifiez commissions (7,7 % du projet), répartition des coûts et garanties. Les retours sur sa filiale de travaux soulignent l’importance de contrôler chaque étape, même externalisée.
Le local prime sur le national. La société ciblait six villes, mais la valeur d’un bien dépend de sa localisation précise, pas d’une moyenne globale. En 2025, avec la crise du logement et les taux en hausse, les disparités s’accentuent : un bien à Lille peut être performant, alors qu’un autre à Bordeaux pâtit d’un marché saturé. Étudiez les tendances locales (rénovation urbaine) plutôt qu’un discours généraliste.
La patience est une stratégie payante. La remontée des taux ralentit les transactions, offrant plus de temps pour l’analyse. Comparez les rendements et diversifiez vos placements. En contexte d’incertitude, misez sur des biens à fort potentiel locatif, avec des gestionnaires fiables et des stratégies fiscales adaptées (comme le LMNP), pour sécuriser votre portefeuille.
La chute d’Immocitiz n’est pas un signal contre l’immobilier, mais un rappel : ce secteur reste solide si on l’aborde avec méthode et lucidité. En 2025, les investisseurs doivent éviter les modèles opaques, se former sur les spécificités locales et refuser la précipitation. L’immobilier n’est ni une loterie ni un placement passif, mais une opportunité à construire pas à pas.
L’immobilier reste une valeur refuge, à condition de garder un œil critique sur les modèles économiques, de privilégier des partenaires locaux éprouvés et de ne jamais sous-estimer le pouvoir de la patience. La chute d’Immocitiz rappelle qu’un investissement réussi se construit avec rigueur, transparence et anticipation, même dans un marché en mutation.
FAQ : Immocitiz et sa liquidation
Peut-on encore investir avec Immocitiz en 2025 ?
Non, Immocitiz a cessé toute activité suite à sa liquidation judiciaire prononcée le 18 octobre 2023 par le Tribunal de Commerce de Nantes. La plateforme n’accepte plus de nouveaux clients et ne gère plus aucun projet.
Que faire si j’avais un projet en cours avec Immocitiz ?
Vous devez impérativement déclarer votre créance auprès du liquidateur judiciaire, Maître Aude Pelloquin, via les annonces publiées au BODACC. Consultez un avocat spécialisé en droit immobilier pour évaluer vos recours, notamment si des travaux étaient en cours ou si des sommes ont été versées sans contrepartie.
Les garanties financières sont-elles toujours valables ?
Non, les garanties financières souscrites auprès de Galian Assurances ont été annulées suite à la liquidation. Les investisseurs qui comptaient sur ces protections se retrouvent sans couverture pour les éventuels préjudices subis.
Quelles sont les meilleures alternatives à Immocitiz ?
Plusieurs options s’offrent aux investisseurs :
- Gestion autonome avec votre propre équipe (chasseur immobilier, artisans, gestionnaire)
- Autres plateformes clé en main à auditer rigoureusement (vérifier solidité financière, avis clients, transparence des frais)
- Crowdfunding immobilier pour diversifier avec des tickets d’entrée accessibles
- SCPI pour une gestion déléguée professionnelle avec mutualisation des risques
Pour les investisseurs du Gard souhaitant rester locaux, consultez notre guide complet pour construire dans le Gard qui vous accompagnera dans votre projet immobilier.
Quels enseignements tirer de la faillite d’Immocitiz ?
Trois leçons majeures : toujours analyser le modèle économique au-delà des promesses de rendement, vérifier la solidité des partenaires (notamment pour les travaux), et diversifier ses investissements pour ne pas dépendre d’un seul acteur. La transparence des frais et l’indépendance des prestataires sont désormais des critères essentiels.
